Glaz Capital accompagne le premier projet à Rennes qui combine architecture et sobriété énergétique

« L’architecture est censée compléter la nature. La grande architecture rend la nature plus belle et lui donne du pouvoir ».

Le designer et architecte italien, Claudio SILVESTRIN, sans être un apôtre du biomimétisme, souligne ici l’ambition du projet Bionik pour l'îlot Solferino situé à Rennes : prendre pour modèle la nature afin d’avoir un impact vertueux sur l’usager et la biosphère.

Glaz Capital, en tant qu’assistant à maîtrise d’ouvrage développement Grands Projets, conseille et oriente un groupement immobilier, constitué de COGEDIM, du Groupe LEGENDRE et de KEREDES, portant cette ambition singulière de s’inspirer du vivant pour mettre l’architecture au service de l’usager et de la biosphère.

Comment concilier architecture et stratégie énergétique

Sous l’égide du biomimétisme, Glaz Capital accompagne un projet de construction qui s’inspire de la frugalité de la nature pour être économe, durable, efficient et producteur en énergie. En effet, le biomimétisme peut être mis en œuvre à deux niveaux :

• Une approche fonctionnelle en s’inspirant des fonctions biologiques pour répondre à des problématiques techniques telles que la production d’énergie

• Une approche écosystémique en s’inspirant du fonctionnement des écosystèmes pour répondre aux ambitions environnementales et sociales du projet et tendre vers un projet régénératif.

Construire un futur plus sobre et respectueux de la Nature

La sobriété nous invite à concevoir un projet qui évite la surenchère en limitant au maximum son impact sur l’environnement voire en le régénérant et en mettant en œuvre des solutions vertueuses pour des apports quantifiables pour l’usager et la biosphère. La mutualisation invite à imaginer un système énergétique intelligent qui se traduit par l’utilisation d’un seul moyen fonctionnel partagé par différents bénéficiaires en permettant l’ouverture du système vers les consommateurs extérieurs et des services communs qui font sens avec l’intensité urbaine.

Enfin, une architecture productive et bio-inspirée, c’est s’appuyer sur un bâtiment conçu passif et intégré dans son écosystème pour apporter une réponse qui questionne les usages, le rapport à la ville, à l’inscription urbaine et au vivant.